Yannis Moré Parents – Les parents de Yannis l’attendent depuis dix ans. Après la nouvelle campagne publicitaire, Pascaline et Gérard Moré, dont le fils Yannis a disparu en mai 1989 alors qu’il avait 3 ans, espèrent entendre un témoignage sur ce qui s’est passé.
Pascaline et Gérard Moré sont entrés dans leur onzième année sans leur fils le jour où la grande campagne de panneaux publicitaires dédiée aux enfants disparus a été lancée. Ils ont parlé de recevoir des appels anonymes, des voisins qui les ont rejetés et de leur espoir de revoir un jour leur fils.
Yannis, 3 ans, a disparu le 2 mai 1989, par une journée de beau temps, alors qu’il jouait avec ses frères près de leur maison sur les hauteurs de Ganagobie, petit village des Alpes de Haute-Provence. Après “douze ans de cauchemars”, comme le dit la douce Pascaline, le couple est désormais habité par une lueur d’espoir.
Une lueur qui pourrait leur dire ce qui s’est passé ce matin. Parfois, dans leurs rêves les plus fous, ils fantasment qu’ils vénèrent désormais Yannis, en disant des choses comme “C’est un adolescent aujourd’hui, avec un passé”.
Un soupçon sournois que Pascaline dissipe au plus vite : “Il y a aussi le scénario sombre : il fait partie d’une secte ou d’un réseau de trafic d’enfants ou il est mort.” Elle s’arrête une fois de plus avant de continuer, “Mais si nous continuons à chercher, cela signifie que nous devons toujours croire qu’il est vivant.”
Deux appels téléphoniques rapides
La police de Digne, qui mène la recherche de l’enfant disparu Yannis, a déclaré avoir reçu deux appels à son sujet depuis le début de la semaine grâce à des affiches placardées dans toute la France grâce aux efforts de l’Association des parents d’enfants assassinés (Apev) et Dauphin, qui a offert l’utilisation gratuite de leurs panneaux d’affichage.
Il y a maintenant deux processus de vérification des témoins en cours. Le dossier « enlèvement et séquestration » a été classé et un juge d’instruction a été nommé à la suite d’un reportage de TF 1 diffusé en octobre dernier. Un téléspectateur de la région de Metz a contacté le Moré et les forces de l’ordre, et son témoignage a permis de rouvrir l’enquête. Un enquêteur a montré que “l’enlèvement” est toujours une théorie plausible et que l’affaire est loin d’être close.
Même s’il n’est pas facile de retrouver les gens dix ans plus tard, nous gardons toujours espoir de pouvoir retrouver Yannis ou au moins de comprendre ce qui s’est passé. Gérard et Pascaline Moré veillent. Après avoir perdu leur fils de 16 ans dans un accident de camion, les parents se sont battus pendant une autre décennie pour maintenir leur foi et élever leurs quatre autres enfants.
Pascaline murmura : « Les gens se fichent du drame, le village nous a finalement chassés de la ville, alors nous nous sommes dispersés. Maintenant qu’ils se sont installés avec leur famille dans une spacieuse maison aux volets jaunes à Carpentras, Gérard et Pascaline dirigent toujours avec succès leur entreprise de fabrication de pièces automobiles.
Agresseurs dans l’ombre
Ils ne négligent pas le fait que les enfants changent d’école pour éviter le harcèlement dans la cour de récréation, ou les appels téléphoniques farfelus de pervers sans nom qui chuchotent : “C’est moi, Yannis”.
Et ce jour terrible, un an et demi après la disparition de leur petit, où un chasseur a découvert dans un ravin, à environ un kilomètre de la maison, une zone qui avait été fouillée “au moins trois fois” lors des combats qui avait suivi le drame, les vêtements de Yannis, ses chaussures et son médaillon accrochés à un arbre. « Aujourd’hui nous sommes chevauchées, chère Pascaline ; et même si dix ans de malheurs nous ont épuisés, nous attendons encore.
Disparition d’Emile : le mystère de Yannis, trois ans, vu pour la dernière fois à 60 kilomètres du Vernet il y a 34 ans Yannis, trois ans, a disparu près de la maison de sa famille dans le même quartier il y a 34 ans. Si la voie privilégiée de l’enlèvement est empruntée, les parents du garçon peuvent ne pas être informés de ce qui s’est passé.Le petit Emile, de deux ans et demi, est toujours introuvable quatre jours après son disparition au Vernet, dans les Alpes-de-Haute- Provence.
Confus, pris ou blessé par hasard…? Aucune des explications possibles n’est favorisée ou ignorée. Le procureur de la République de Digne-les-Bains Rémy Avon a déclaré que les enquêteurs recherchaient “le moindre indice, la moindre trace” pour comprendre ce qui était arrivé à l’enfant.
Cette mystérieuse et soudaine disparition a ravivé des souvenirs douloureux dans les Alpes de Haute-Provence. Le Progrès rappelle que le 2 mai 1989, Yannis Moré, trois ans, a disparu de la commune de Ganagobie, située à 60 kilomètres du Vernet. L’enfant n’a jamais été retrouvé et son sort reste un mystère à ce jour.
En ce jour de mai 1989, Yannis et ses frères construisent une petite cabane non loin de la maison familiale. Selon franceinfo, ses frères et sœurs ne lui accordent que quelques minutes de temps seul chaque jour. Les Uplifting PlotYannis partiront dès leur retour. Ils n’ont pas entendu parler d’elle depuis des années. Les autorités ont mis en place un système complet de mécanismes de recherche, mais le petit garçon est toujours porté disparu.
Au cours des 18 derniers mois, nous avons élu domicile à Ganagobie. Je les ai regardés passer un bon moment. La première fois qu’ils m’ont demandé de quitter la maison, c’était quand j’étais à l’université. J’ai dit à l’aîné de faire attention au plus jeune. En 2016, lors d’une visite à La Provence, Pascaline, la mère de Yannis, a déclaré: “Ils m’ont dit que Yannis allait voir les chiots d’un voisin dans un jardin latéral.”
Seize mois après la disparition du garçon, Le Dauphiné Libéré rapporte qu’un chasseur a localisé ses affaires à moins de 300 mètres du domicile familial. Selon franceinfo, les enquêteurs n’ont fait qu’un seul constat concluant :
S’adressant à franceinfo, la mère de Yannis, Jacqueline, a déclaré : “Le pire, c’est de ne pas savoir comment c’est arrivé, où il est, s’il est vivant, s’il est mort. Un mort, oui, la douleur est là, mais on aurait pu aller ailleurs”. se rassembler, mais c’est difficile de ne rien avoir du tout, ça tourne en rond, et je pense que ce sera pareil jusqu’à la toute fin.
Cependant, un incident troublant du passé refait surface.
La recherche d’Émile, 2 ans, qui a disparu après avoir échappé au regard attentif de ses grands-parents dans la région du Vernet dans les Alpes-de-Haute-Provence le 8 juillet 2023, se poursuit à ce jour. Cependant, le gamin est toujours introverti pour le moment. Cette disparition fait écho à une affaire des années 1980 qui a également touché les Alpes-de-Haute-Provence.
Jamais plus je ne retrouverai Yannis
Tout cela remonte au 2 mai 1989. Aujourd’hui, dans le petit village de Ganagobie, toujours à moins d’une heure de route du Vernet, Yannis, 3 ans, s’amuse à construire une cabane avec ses trois grands frères non loin du maison familiale, qui se situe à moins d’un quart de mille.
Deux jeunes hommes ont abandonné leur chantier de fortune pour aller récupérer quelques outils dans la maison. Le frère aîné est resté sur place, mais le petit Yannis a insisté pour accompagner ses frères et sœurs. Personne ne l’a jamais revu.
La maman du petit Yannis, Pascaline Moré, explique qu’elle pouvait garder un œil sur ses enfants depuis la fenêtre même lorsqu’ils s’aventuraient pour jouer car ils étaient tous vêtus de couleurs vives. Six jours de recherche n’ont rien donné, et cela fait trente-quatre ans que l’enfant n’a pas été vu pour la dernière fois.
Selon le père de Yannis, Gérard Moré, même des médecins sont venus chercher son fils disparu. Des vêtements appartenant à Yannis ont été découverts près d’un an après sa disparition. Plus d’un an après la disparition de l’enfant, sa chaîne, ses chaussures et ses vêtements (dont un anorak, un slip et une seule paire de chaussures) sont découverts dans le fossé le long d’une route, avec seulement un t-shirt et un paire de chaussures manquante. Quelques années plus tard, il se confie au commandant de l’affaire, le lieutenant-colonel Barthet, disant : « On n’oubliera pas ».
Le président du tribunal de l’époque, Yves Bonnet, a expliqué : « On peut toujours s’attendre à des résultats inattendus. Depuis la disparition d’Emile en 1989, le mystère de ce qui est arrivé à ce petit garçon demeure, malgré le fait que la justice ait dû renvoyer l’affaire. Cependant, si le scénario le plus pessimiste est accepté, les parents pourraient ne jamais recevoir de réponse.
“Mon coeur bat” Pascaline Moré, qui a aujourd’hui 64 ans et travaille comme coiffeuse, assiste au travail tous les jours et accepte qu’elle doive à nouveau évoquer la disparition de son fils Yannis, “bien que le battage médiatique ait été utilisable psychologiquement, c’est indéniable quoi qu’on en dise ou qu’on l’écrive, Pascaline habite un chalet aux portes de Carpentras depuis 1996.
La première fois qu’ils m’ont demandé de quitter la maison, c’était quand j’étais à l’université. J’ai dit à l’aîné de regarder Elle se souvient : « Ils m’ont dit que Yannis allait voir les chiots d’un voisin d’à côté », ajoutant : « navigue, depuis, entre espoir et désespoir. » Deux tasses à café et un dossier rempli de paperasse sont sur la table.
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