Samuel Benchetrit Taille – Récit d’un branleur, son premier roman, est sorti en 2000, et il a également été metteur en scène de l’émission. Sami Bouajila joue dans le film de neuf minutes. Il a commencé à réaliser la comédie Janis et John trois ans plus tard. Il y retient Marie Trintignant, son ex-petite amie.
Les souvenirs difficiles que Samuel Benchetrit a de sa jeunesse sont un thème récurrent dans ses livres. Les Chroniques de l’asphalte, sa biographie en cinq volumes, est publiée alors qu’il a 33 ans. Trois livres le premier en 2005, le deuxième en 2007 et le troisième en 2010 ont été publiés. J’ai toujours voulu être un gangster, un film mettant en vedette ce jeune homme, est sorti en 2008.
Au Festival du film de Sundance cette année-là, le film a remporté le prix du meilleur scénario. Par la suite, il a publié un nouveau livre intitulé Le cœur en hors, qui a reçu le prix Eugène-Dabit 2009 du meilleur roman populiste. En 2011, Samuel et José Garcia ont continué à sortir leur troisième film, Chez Gino.
Samuel Benchetrit Taille : 1,86m
L’adaptation de ses romans autobiographiques Les Chroniques de l’asphalte, Asphalte, est alors mise en production. Outre Gustave Kervern, il a également dirigé Michael Pitt, Isabelle Huppert et Valeria Bruni Tedeschi. En 2016, Une Nuit avec ma femme devient largement connue. Il rend hommage à Marie Trintignant dans ce livre. Parallèlement à son absence, il évoque également la violence à l’égard des femmes.
Une biographie
Samuel Benchetrit est un réalisateur, dramaturge, scénariste et acteur français né à Champigny-sur-Marne le 26 juin 1973. Dans un cadre discret, Samuel Benchetrit est né en 1973 à Champigny-sur-Marne. Sa mère est coiffeuse et son père est serrurier d’origine juive. À l’âge de 15 ans, il décide d’arrêter d’aller à l’école et de commencer à travailler.
Il accumule de petits emplois, comme ceux d’huissier de cinéma et d’assistant photographe. Il sort son premier livre, Récit d’un branleur, en 2000. Il coréalise également le court métrage de neuf minutes Nouvelles de la tour L avec Sami Bouajila. Il passe à la réalisation de longs métrages en 2003 avec la comédie Janis et John, qu’il co-écrit avec Marie Trintignant, sa compagne d’alors.
Le sujet des souvenirs d’adolescent désagréables de Samuel est fréquemment traité dans ses œuvres de plus en plus intimes. Les Chroniques de l’asphalte, dont le premier tome est sorti en 2005 et le second en 2007, est une biographie en cinq tomes commencée par l’auteur à l’âge de 33 ans.
En 2010, le troisième livre de la série a été publié. À l’âge de 15 ans, Samuel Benchetrit cesse ses activités académiques et entre sur le marché du travail. Il enchaîne les petits boulots avant de se lancer dans une carrière artistique. En conséquence, il a commencé à travailler comme huissier et assistant photographe.
Son premier court métrage, « Saint Valentin », est réalisé en 1995. En 2000, « Nouveau de la tour L » sort. Mais le succès lui sourit d’abord au théâtre. Il représente Jean-Louis Trintignant et sa fille Marie Trintignant dans ses œuvres de 1999 et 2001 “Poèmes à Lou” et “Comédie sur un quai de gare”. L’actrice devient plus tard sa partenaire et les deux ont un enfant ensemble.
Il coréalise “Janis et John”, son premier long métrage, avec François Cluzet. Après la mort de l’actrice dont il avait déjà divorcé, le film est sorti en salles en 2003. Il fait ses débuts en tant qu’acteur en 2005, apparaissant dans “Backstage” d’Emmanuelle Bercot. Cependant, le cinéaste souhaite simplement collaborer avec d’autres réalisateurs qu’il admire et ne se sent pas acteur.
Avec Edouard Baer, Jean Rochefort, les chanteurs Arno et Alain Bashung, et l’actrice Anna Mouglalis, son deuxième long métrage met également en vedette Arno et Alain Bashung. Le film en noir et blanc “J’ai toujours rêvé de devenir un gangster” très apprécié par la critique. On voit sa petite amie et leur fille Saül, née en 2007, sur l’excellente affiche du film.
Samuel Benchetrit a une forte envie d’écrire. Dans cet ouvrage autobiographique en plusieurs volumes, il décrit ses trente années de formation. Samuel Benchetrit affirme vouloir continuer à se consacrer à l’écriture même s’il n’est pas sûr de vouloir toujours réaliser des films. Les volumes II et III des “Chroniques de l’Asphalte” sortent donc respectivement en 2007 et 2010, tandis que son deuxième livre, “Le Cur en hors”, est publié entre-temps.
Néanmoins, il reprend sa casquette de réalisateur en 2011 et publie « Chez Gino », son troisième long métrage, dans lequel il incarne et réalise à la fois José Garcia, Anna Mouglalis et Sergi Lopez. Par ailleurs, Samuel Benchetrit fait un retour dans les rôles de Pierre Goldman dans “Goldman” de Christophe Blanc et “Un enfant de toi” de Jacques Doillon. Il a rencontré Vanessa Paradis en 2016 alors qu’il travaillait sur le tournage du film “Dog”. C’est le coup de foudre, mais comme d’habitude, le couple décide de garder leur relation privée.
Après des mois de rumeurs, ils se sont mariésed en juin 2018. Cette année, le Festival international du film indépendant de Bordeaux a marqué les esprits grâce à Samuel Benchetrit, auteur, réalisateur et même acteur. Quant à Michel Ocelot, il a incontestablement retenu toute l’attention. L’occasion idéale de (re)découvrir certains de ses films. Les films J’ai toujours rêvé de devenir un gangster (2008) et Asphalt (2015) ont été projetés dans le cadre du thème. Néanmoins, Dog en avant-première (la sortie est prévue pour 2018).
UNE SIGNIFICATION EXACTE
La main du réalisateur est clairement visible dans ce film le plus récent. Il alterne entre poésie et fable bizarre avec un sens de l’humour presque inconscient. S’il y a une métaphore pour ce film, c’est qu’un homme a été dégradé au niveau d’un chien sur une longue période de temps. La majorité des interprètes du film traînent leurs cadavres à travers les mêmes scènes à plusieurs reprises.
L’image est caractérisée à la fois par le non-dit et l’inaction. Les films de Samuel Benchetrit contiennent typiquement les éléments mentionnés ci-dessus. Tout d’abord, le ridicule. Les trois films présentés n’ont jamais manqué de faire rire le public. Le réalisateur profite de ce ridicule pour ajouter un élément comique à ses films, évitant ainsi le cliché de la comédie franche.
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