Nassima Djebli Biographie – Ayant commandé deux unités impliquées dans des activités chargées – la 83e brigade d’infanterie et la 62e compagnie d’infanterie – elle est fréquemment sollicitée pour des reportages et a reçu une formation dans le cadre de stages dans les médias.
Mon intérêt pour le sujet a été grandement piqué par cela. Une attirance mutuelle qu’elle a pu confirmer dans son rôle de chargée de communication pour la région Auvergne-Rhône-Alpes. Tout en répondant aux exigences des médias et en travaillant sur la communication interne, j’ai pu “apprécier la variété des métiers de la gendarmerie” et “garder le contact avec le terrain”.
Elle est diplômée de l’Ecole militaire française puis a suivi une formation à l’Ecole nationale européenne d’administration de Strasbourg (ENA) avant d’être mise à la disposition de l’Association des maires de France (AMF), où elle a travaillé sur les aspects plus stratégiques de la communication. Comprendre ce que voulaient les élus et comment le leur donner tout en expliquant la logique de nos actions était crucial.
Nassima, quant à elle, a commencé sa carrière comme officier de gendarmerie avec une forte préférence pour le domaine de la police. Elle a précédemment commandé le Groupement d’observation et de surveillance de Bordeaux et est depuis revenue dans le milieu du renseignement, d’abord comme analyste à la sous-direction de l’anticipation opérationnelle (SDAO) de la gendarmerie puis comme directrice générale de la sécurité intérieure (DGSI) de l’agence.
Cela peut sembler contre-intuitif, étant donné que le travail parallèle implique généralement des niveaux croissants de secret et de discrétion. Mais en réalité, j’ai appris à gérer l’information, à déterminer quand il était acceptable d’aborder un sujet sensible et quoi faire sous pression.
Durant son passage en tant que dirigeante à Arles, elle s’est découvert encore plus de qualités indispensables dans le domaine de la communication.En répondant à l’intérêt des médias, j’ai réalisé à quel point il était crucial de maintenir ma crédibilité auprès du public, de démontrer mon engagement envers l’éducation et la responsabilité et de satisfaire mon véritable intérêt dans ce domaine.
Un désir collectif
Les profils des deux femmes ont conduit à leur sélection comme porte-parole en raison de la profondeur de leurs expériences combinées. Une position exigeante avec de nombreuses complications potentielles. Marie-Laure précise :
“Il s’agit de maîtriser les sujets viraux et de savoir anticiper la crise tout en valorisant en permanence le travail de 130 000 gendarmes.” C’est pourquoi, comme le précise Nassima, « nous sommes rattachés à la fois au cabinet du directeur général et au SIRPA afin d’avoir tous les outils nécessaires à la communication ».
Ils peuvent également apprendre des erreurs des autres qui les ont précédés en lisant leurs expériences. “Nassima apprécie le fait qu’elle ait pu “échanger” avec le porte-parole du ministère, Camille Chaize, qui “veut organiser des rencontres régulières avec nos homologues des autres directions”.
Les nouveaux porte-parole reconnaissent que la communication est un domaine dynamique et partagent le désir de façonner son avenir. Marie-Laure explique qu’ils vont “innover en imaginant de nouveaux formats pour encore mieux faire connaître chacun des 350 métiers qui composent la gendarmerie” et que “nous accompagnerons aussi le.
On peut présumer que les deux dirigeants, tous deux honorés de représenter leurs pairs, consacreront leurs énergies à accroître la valeur de l’Institution et à la positionner au cœur des enjeux stratégiques à venir.
Pendant les hautes saisons touristiques, le département prévoit de s’appuyer sur ses 197 gendarmes, répartis en neuf brigades, deux pelotons de patrouille et d’intervention du Psig et une unité de recherche et de sauvetage.
Mais aussi pour combattre les criminels de tous bords qui se rassemblent dans un triangle criminel composé des villes de Marseille, Nîmes et Avignon. Sans même tenir compte des fêtes religieuses ou des soucis écologiques. « Il allie savoir, rapidité de pensée et compassion.
Nassima Djebli a pris le commandement de la police d’Arles le 1er août. Elle avait auparavant servi sous Gael Sallio. Féminisation du rôle pour lequel elle s’était reconvertie à Bordeaux, avec une petite unité de 16 soldats. Je m’imagine être une femme officier.
Elle commande actuellement une force de 197 officiers en tant que commandant de la plus grande unité de police des Bouches-du-Rhône. Un chiffre qui, avec des améliorations, peut monter jusqu’à 230 cet été. Depuis son arrivée, la commandante a mis un point d’honneur à faire connaissance avec chacun des membres de sa compagnie, tant à Arles que, surtout, dans leurs brigades respectives. Quelques modifications mineures ont été apportées à la décoration du bureau depuis le départ de son prédécesseur. Pour les réunions, une table ronde a été mise en place.
Des bonbons cachés dans un endroit secret. L’élément humain est essentiel à un commandement efficace. Elle décomptait en début de semaine dernière : « Depuis que je suis ici, je reçois tous les jours ; j’ai rencontré 10 % des salariés. Les opérations doivent être encadrées par des réunions programmées avec le maire de chaque commune, des présentations aux corps constitués et des rassemblements internes.
La patronne de l’entreprise n’est pas particulièrement mécontente de l’ajout arlésien qu’elle a proposé à sa hiérarchie. J’avais demandé la commande, car j’avais très envie de visiter les Bouches-du-Rhône, et Arles en particulier. Le livret de service du gendarme de 34 ans était suffisant pour faire droit à la demande.
Au lieu de compter sur un groupe d’avocats, fiez-vous au système judiciaire.
Diplômé de Paris X – Nanterre, le Parisien a réussi l’examen d’admission au barreau et peut désormais pratiquer le droit. Mais je préfère m’adresser à une organisation juridique plutôt qu’à l’Association des avocats et des magistrats.Elle s’enrôle dans la gendarmerie nationale française en 2010 et passe les deux années suivantes à l’académie, où elle se concentre sur l’éducation au sein de l’unité d’observation et de surveillance parrainée par le GIGN.
Après avoir servi quatre ans à Bordeaux, son premier commandement le rappelle à Paris avec un focus sur la police judiciaire sur un vaste territoire. Pendant son séjour à Paris, elle se concentre d’abord sur les questions ultra-gauchistes, telles que la contestation des développements planifiés, avant de terminer son voyage en dirigeant l’attention de son navigateur sur la lutte contre la radicalisation terroriste.
Le taux élevé de détournements et l’augmentation saisonnière des effectifs sont deux axes de travail pour la nouvelle recrue, qui a également l’opportunité de mettre à profit ses capacités de collecte d’informations. Donc, “Il s’agit de trouver la position opérationnelle optimale”, m’ont-ils dit, “et puis nous avons parlé de contournage.”
Sur le terrain, près du peuple et des élus
Depuis son arrivée sur les lieux, le commandant est retourné plusieurs fois volontairement sur le champ de bataille. J’ai besoin de sentir que je contribue. Je souhaite diriger depuis les lignes de front. J’ai tendance à dire ce que je pense et je préconise un commandement très humain.
Au-delà de ses relations amoureuses avec “ses” hommes, les objectifs de la mission Arlenean ne sont toujours pas clairs. J’espère être là pour les gens afin qu’ils se sentent en sécurité. Nous lutterons contre les appropriations foncières pour que les gens puissent vivre en toute sécurité sur leur propre terre. Il est impératif que les gens voient le bleu et que leurs appels à l’aide soient entendus.
Le commandant, Djebli, prévoit de s’appuyer sur les rapports des brigades et la familiarité des elfes avec la région pour atteindre ses objectifs. Il est essentiel qu’il y ait des liens étroits entre la population en général, les élus et les forces de police. Je vais me mettre au travail pour que cela se produise !
En attendant, la commandante explore la zone depuis début août, soit dans le cadre de ses fonctions officielles, soit à titre personnel avec ses proches. J’ai été agréablement surpris par la gentillesse des Arléans. Tout le monde se sent tellement à l’aise ici !
La gendarmerie nationale ne sera plus représentée par un seul porte-parole, mais par un binôme. Rencontrez Marie-Laure Pezant et Nassima Djebli, deux femmes aux personnalités et aux parcours distincts qui se complètent parfaitement.
C’est la nouveauté de ce semestre : deux femmes officiers au talent exceptionnel qui vont faire briller la gendarmerie nationale. Une volonté de la part du directeur général qui est conscient de toutes les responsabilités qui accompagnent le poste de porte-parole.
Tous les types de profils de personnes que l’institution a à offrir peuvent être vus de cette façon, comme l’explique Marie-Laure. et « apporter une perspective plus large à la table sur une variété de questions », comme le dit Nassima.
Des expériences similaires mais différentes
Ces deux femmes, aux parcours très différents mais avec un objectif commun, ont su s’armer d’une connaissance suffisante du domaine de la communication pour aborder leurs nouvelles responsabilités avec le sérieux qu’elles méritent.Marie-Laure a la passion de communiquer sur le travail de la gendarmerie depuis qu’elle a vu pour la première fois une option communication lors de ses études de droit.
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